Avis de Octave : "Douaumont c’est fort en marmitage !"
Cet ouvrage « La bataille de Verdun » explique bien l’enjeu de la prise éventuelle de Verdun par les Allemands. La bataille de Verdun nous est contée depuis son déclenchement en février 1916 jusqu’aux reprises des forts de Douaumont et Vaux en octobre et novembre de la même année. Un croquis du fort de Douaumont est présenté en coupe, des photographies et dessins de tranchées permettent (avec le texte joint) de se faire une idée appropriée des aspects principaux de la bataille.
L’origine du mot « poilu » et l’évolution des armes ainsi que des uniformes sont mis en exergue. Le test permet d’envisager le retour à la vie civile des soldats et les jeux facilitent la mémorisation des connaissances. La salle de classe, représentée sur une pleine page dans cette partie ludique, a l’inconvénient de proposer des tables individuelles pour les élèves alors que même les tables à deux places étaient extrêmement rares à la fin de la Belle Époque ; on était alors selon les villages avec des pupitres pour quatre, six ou huit élèves. Second aspect nettement plus gênant, la légende le la Tranchée des baïonnettes est présentée ici comme un fait historique.
Les sites patrimoniaux autour de Verdun sont largement évoqués et plusieurs lignes viennent souligner l’originalité de l’Historial de Péronne en Normandie. Globalement nous avons à faire à un ouvrage très intéressant et ses défauts ne viendront pas bouleverser la représentation pertinente qu’il fournit de cet épisode capital de la Grande Guerre.
L’origine du mot « poilu » et l’évolution des armes ainsi que des uniformes sont mis en exergue. Le test permet d’envisager le retour à la vie civile des soldats et les jeux facilitent la mémorisation des connaissances. La salle de classe, représentée sur une pleine page dans cette partie ludique, a l’inconvénient de proposer des tables individuelles pour les élèves alors que même les tables à deux places étaient extrêmement rares à la fin de la Belle Époque ; on était alors selon les villages avec des pupitres pour quatre, six ou huit élèves. Second aspect nettement plus gênant, la légende le la Tranchée des baïonnettes est présentée ici comme un fait historique.
Les sites patrimoniaux autour de Verdun sont largement évoqués et plusieurs lignes viennent souligner l’originalité de l’Historial de Péronne en Normandie. Globalement nous avons à faire à un ouvrage très intéressant et ses défauts ne viendront pas bouleverser la représentation pertinente qu’il fournit de cet épisode capital de la Grande Guerre.
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