Avis de Xirong : "Retrouverons-nous pour 1888, en Jack l’Éventreur, le héros dans ce même quartier de Whitechapel?"
Un prestidigitateur Jerrold Piccobello, né juste un peu après 1840, se rappelle quelle fut son enfance et son entrée dans le monde du spectacle. Son père était un tricheur professionnel aux dés et il le paya de sa vie lorsqu’un des joueurs qu’il avait plumé le découvrit, non content de l’occire il fit périr aussi les grands-parents chez lequel il vivait avec sa sœur depuis le décès de leur mère lorsqu’il avait trois ans.
À la mort de son père, il est recueilli dans une employée, d’une taverne du quartier de Whitechapel, qui décide de les loger dans la conciergerie du théâtre juste en face, là où sa mère est concierge. Ce sont certaines coulisses, au sens propre et au sens figuré qui sont explorées. Là comme ailleurs des situations quelque peu érotiques se déroulent, on réservera donc cette BD à des plus de douze ans. De plus nous craignons le pire pour la suite des aventures, comme notre titre le laisse entendre.
L’action court entre 1852 et 1887. Dans ce théâtre à l’abandon en 1887, Jerrold Piccobello rencontre le diable ; il lui cède son âme en échange de l’immortalité. Le trait a des allures un peu griffonnées qui aident à rendre le dynamisme de l’action, les couleurs sont chaudes comme les aventures du héros et de ses proches, qui peuvent perdre la vie du fait de leur assurance dans leur bonne étoile au jeu ou avec les femmes. Après un premier tome aux dimensions réalistes, les deux autres, qui paraitront fin 2015 et en 2016 devraient nous amener dans un univers plus mystérieux, bref on passera du magique rationnel au diabolique irrationnel mais historique.
À la mort de son père, il est recueilli dans une employée, d’une taverne du quartier de Whitechapel, qui décide de les loger dans la conciergerie du théâtre juste en face, là où sa mère est concierge. Ce sont certaines coulisses, au sens propre et au sens figuré qui sont explorées. Là comme ailleurs des situations quelque peu érotiques se déroulent, on réservera donc cette BD à des plus de douze ans. De plus nous craignons le pire pour la suite des aventures, comme notre titre le laisse entendre.
L’action court entre 1852 et 1887. Dans ce théâtre à l’abandon en 1887, Jerrold Piccobello rencontre le diable ; il lui cède son âme en échange de l’immortalité. Le trait a des allures un peu griffonnées qui aident à rendre le dynamisme de l’action, les couleurs sont chaudes comme les aventures du héros et de ses proches, qui peuvent perdre la vie du fait de leur assurance dans leur bonne étoile au jeu ou avec les femmes. Après un premier tome aux dimensions réalistes, les deux autres, qui paraitront fin 2015 et en 2016 devraient nous amener dans un univers plus mystérieux, bref on passera du magique rationnel au diabolique irrationnel mais historique.
Pour connaisseurs Beaucoup d'illustrations
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