Avis de Xirong : "Au pays des rhinos c'est rosse"
Parti par défi pour explorer l’Afrique et rechercher l’origine de l’homme, le héros Edwin va se retrouver dans un pays imaginaire où, à sa grande surprise, il est héros de roman.
Le départ s’est fait en 1854 de Londres et Edwin est accompagné par son majordome Arthur. Bien que l’univers géographique soit pour ce tome bien différent (on est ici en Afrique), on songe au "Tour du monde en quatre-vingt jours" avec pour personnage principal Phileas Fogg. Au personnage du majordome, on ajoute là un chien.
L’univers de ce pays imaginaire est quelque peu fantastique, le style graphique porte bien cette dimension et le dynamisme de l’action. Les couleurs sont très harmonieuses.
Dans la mesure où cet ouvrage est un clin d’œil à l’univers vernien et qu’il porte bien la soif des Européens de la fin du XIXe siècle d’explorer le moindre recoin du globe, il a sa place dans le monde des récits historiques fictionnels.
C’est le premier album du scénariste breton et de l’illustratrice provençale ; le résultat ne le ferait pas deviner tant par la qualité que par la quantité du travail (soixante-douze pages avec un découpage des vignettes constamment renouvelé). Manon Textoris et Julien Lambert ont remporté le Prix Raymond Leblanc pour leur projet " Edwin, le voyage aux origines ", cette BD a donc été prépubliée dans le quotidien belge "Le Soir".
Le départ s’est fait en 1854 de Londres et Edwin est accompagné par son majordome Arthur. Bien que l’univers géographique soit pour ce tome bien différent (on est ici en Afrique), on songe au "Tour du monde en quatre-vingt jours" avec pour personnage principal Phileas Fogg. Au personnage du majordome, on ajoute là un chien.
L’univers de ce pays imaginaire est quelque peu fantastique, le style graphique porte bien cette dimension et le dynamisme de l’action. Les couleurs sont très harmonieuses.
Dans la mesure où cet ouvrage est un clin d’œil à l’univers vernien et qu’il porte bien la soif des Européens de la fin du XIXe siècle d’explorer le moindre recoin du globe, il a sa place dans le monde des récits historiques fictionnels.
C’est le premier album du scénariste breton et de l’illustratrice provençale ; le résultat ne le ferait pas deviner tant par la qualité que par la quantité du travail (soixante-douze pages avec un découpage des vignettes constamment renouvelé). Manon Textoris et Julien Lambert ont remporté le Prix Raymond Leblanc pour leur projet " Edwin, le voyage aux origines ", cette BD a donc été prépubliée dans le quotidien belge "Le Soir".
Pour tous publics Beaucoup d'illustrations Plan chronologique
La galerie Comic Art Factory termine sa première année avec une exposition collective sur le thème des Voyages, du 16 novembre au 22 décembre 2018.
Vous y découvrirez les planches originales et illustrations d’artistes malgaches, libanais, danois, français et belges.
Les artistes exposés : Benoït Roels (Belgique), Tracy Chahwan (Liban), Mikkel Sauzet (Danemark), Liva (Madagascar), Isabelle Dethan (France), Kokor (France), Romain Baudy (France), François Dermaut (France).
Chaussée de Wavre, 237
1050 Bruxelles, Belgique
Transport : Métro Trône, Bus 34 et 80 (arrêt Museum), à 450 m de la gare de Bruxelles-Luxembourg.
Heures d’ouverture : du jeudi au samedi, de 11h à 19h.
Vous y découvrirez les planches originales et illustrations d’artistes malgaches, libanais, danois, français et belges.
Les artistes exposés : Benoït Roels (Belgique), Tracy Chahwan (Liban), Mikkel Sauzet (Danemark), Liva (Madagascar), Isabelle Dethan (France), Kokor (France), Romain Baudy (France), François Dermaut (France).
Chaussée de Wavre, 237
1050 Bruxelles, Belgique
Transport : Métro Trône, Bus 34 et 80 (arrêt Museum), à 450 m de la gare de Bruxelles-Luxembourg.
Heures d’ouverture : du jeudi au samedi, de 11h à 19h.
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