Avis de Zaynab : "Dans la piraterie ici, tu ris plus que tueries"
On sait combien l'imaginaire des enfants autour des pirates est dense. Leur permettre de le nourrir ne peut que plaire à ceux-ci. En choisissant trois illustrateurs différents, on propose une relance de l'intérêt. On est toujours plus ou moins dans le style des dessins animés mais des nuances dans la dimension réaliste des objets et la richesse du décor.
Si Christian prend soin de mettre des contours au texte parlé ponctuellement, par contre les deux autres auteurs ne dessinent pas les bulles qu'ils devraient faire. Il est évident que mettre les paroles près du personnage qu'il le dit assouplit le texte et le dynamise, en supprimant des moreaux de phrase comme « répondit le perroquet » ou « s'exclama le jeune Bobby ».
Neuf récits sont offerts et on note un volontaire et sain euphémisme par rapport à la violence dans le mode de la flibusterie. Ainsi dans le premier récit par exemple, le chef des pirates déclare qu'il faut prendre vivants les marins du bateau attaqué et qu'on les débarquera dans une île, par ailleurs le navire de ce dernier se nomme "Le joyeux polisson".
Le premier a pour héros un mousse qui vit une énorme tempête, un abordage et une fuite devant un bateau chasseur de pirates. La seconde histoire tourne autour d'un perroquet qui crie « Au voleur » dès qu'il voit un larcin. Le troisième texte montre comment une jeune fille se joue des pirates près des côtes européennes, grâce au brouillard. L'histoire suivante conte comment un jeune garçon trompe le chef des pirates en lui laissant croire à l'existence d'un trésor sur une île. Le quatrième récit montre une jeune fille se faisant embaucher comme mousse auprès de pirates et fait de ceux-ci des Robins des bois. On voit, à travers déjà cela, que l'univers des pirates est un support pour des messages au contenu très moral et jamais traumatisant.
Ce contenu est idéal pour des enfants de quatre à sept ans, lecteurs ou non alphabétisés (les parents ou l'enseignant racontera). Le titre "Histoires de pirates pour les petits garçons" paru en 2010 présente pour partie le même contenu que "Histoires de pirates pour les petits".
Si Christian prend soin de mettre des contours au texte parlé ponctuellement, par contre les deux autres auteurs ne dessinent pas les bulles qu'ils devraient faire. Il est évident que mettre les paroles près du personnage qu'il le dit assouplit le texte et le dynamise, en supprimant des moreaux de phrase comme « répondit le perroquet » ou « s'exclama le jeune Bobby ».
Neuf récits sont offerts et on note un volontaire et sain euphémisme par rapport à la violence dans le mode de la flibusterie. Ainsi dans le premier récit par exemple, le chef des pirates déclare qu'il faut prendre vivants les marins du bateau attaqué et qu'on les débarquera dans une île, par ailleurs le navire de ce dernier se nomme "Le joyeux polisson".
Le premier a pour héros un mousse qui vit une énorme tempête, un abordage et une fuite devant un bateau chasseur de pirates. La seconde histoire tourne autour d'un perroquet qui crie « Au voleur » dès qu'il voit un larcin. Le troisième texte montre comment une jeune fille se joue des pirates près des côtes européennes, grâce au brouillard. L'histoire suivante conte comment un jeune garçon trompe le chef des pirates en lui laissant croire à l'existence d'un trésor sur une île. Le quatrième récit montre une jeune fille se faisant embaucher comme mousse auprès de pirates et fait de ceux-ci des Robins des bois. On voit, à travers déjà cela, que l'univers des pirates est un support pour des messages au contenu très moral et jamais traumatisant.
Ce contenu est idéal pour des enfants de quatre à sept ans, lecteurs ou non alphabétisés (les parents ou l'enseignant racontera). Le titre "Histoires de pirates pour les petits garçons" paru en 2010 présente pour partie le même contenu que "Histoires de pirates pour les petits".
Accessible jeunesse Beaucoup d'illustrations
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