Avis de chevry : "quel dommage !"
Ce roman historique du désastre infligé par Arminius (vénéré ensuite en Allemagne sous l'appellation de Hermann) sur les légions romaines de Varus, et ses conséquences sur les campagnes militaires ultérieures de Rome en Germanie est relaté de façon vivante et détaillée. Mais dommage que le style du récit ne soit pas à la hauteur des événements !
L'ouvrage est rédigé (peut-on employer le terme ici ?) comme une compilation de notes de lectures, avec redites incessantes, emphases littéraires, retours en arrière qui nuisent à la fluidité de la lecture.
On peut pardonner les parti-pris (Arminius est d'un bout à l'autre le traitre) puisque l'auteur n'utilise qu'une seule source, mais le plus dérangeant reste que faute de rigueur dans les citations des dites sources, on ne sait pas démêler ce qui relève de la création imaginative de l'auteur et de l'histoire réelle. C'est d'autant plus dommage que le récit est souvent palpitant et plein de détails mais que l'on ne sait attribuer à Luc Mary ou à Dion Cassius, ce qui pour un historien est gênant.
Pourquoi toutes ces redites, ces paragraphes entiers répétés tout au long du livre ? Est-ce un manque de relecture ? Un souci d'arriver aux 200 pages ?
Et l'absence de carte est impardonnable.
L'ouvrage est rédigé (peut-on employer le terme ici ?) comme une compilation de notes de lectures, avec redites incessantes, emphases littéraires, retours en arrière qui nuisent à la fluidité de la lecture.
On peut pardonner les parti-pris (Arminius est d'un bout à l'autre le traitre) puisque l'auteur n'utilise qu'une seule source, mais le plus dérangeant reste que faute de rigueur dans les citations des dites sources, on ne sait pas démêler ce qui relève de la création imaginative de l'auteur et de l'histoire réelle. C'est d'autant plus dommage que le récit est souvent palpitant et plein de détails mais que l'on ne sait attribuer à Luc Mary ou à Dion Cassius, ce qui pour un historien est gênant.
Pourquoi toutes ces redites, ces paragraphes entiers répétés tout au long du livre ? Est-ce un manque de relecture ? Un souci d'arriver aux 200 pages ?
Et l'absence de carte est impardonnable.
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