Avis de le club du roman historique : "Très Bien"
Je suis passionnée par l'Antiquité en général, par la Rome antique en particulier, donc je suis un peu difficile dès qu'il s'agit de romans historiques traitant de cette civilisation. Et Cristina Rodriguez s'en sort encore une fois avec les honneurs.
Comme d'habitude, elle est l'une des seules à décrire des scènes de sexe (il y en a deux ici si mes souvenirs sont bons), elle est d'ailleurs parfois critiquée à cause de cela, mais je ne vois pas pourquoi, même si j'avoue que je ne vois pas trop parfois l'intérêt par rapport à l'intrigue ! Quant à celle-ci, elle est encore une fois originale et intéressante : on découvre les dessous du trafic des oeuvres d'art et le formidable pouvoir des grandes courtisanes sous l'empire romain. Pour tout vous dire, je crois que mon personnage préféré c'est Io, cette femelle léopard qui se prend pour un chien !
Un seul petit bémol : dans ce roman, l'auteur fait trop l'économie de la description au risque de rester superficielle. Dans le même genre, Steven Saylor est un cran au-dessus. En effet, je trouve dommage de traiter de la Rome antique sans qu'il ait de description de la vie quotidienne, de Rome, de l'architecture... Les détails manquent, on a parfois l'impression que les personnages jouent devant un décor en carton-pâte.
Comme d'habitude, elle est l'une des seules à décrire des scènes de sexe (il y en a deux ici si mes souvenirs sont bons), elle est d'ailleurs parfois critiquée à cause de cela, mais je ne vois pas pourquoi, même si j'avoue que je ne vois pas trop parfois l'intérêt par rapport à l'intrigue ! Quant à celle-ci, elle est encore une fois originale et intéressante : on découvre les dessous du trafic des oeuvres d'art et le formidable pouvoir des grandes courtisanes sous l'empire romain. Pour tout vous dire, je crois que mon personnage préféré c'est Io, cette femelle léopard qui se prend pour un chien !
Un seul petit bémol : dans ce roman, l'auteur fait trop l'économie de la description au risque de rester superficielle. Dans le même genre, Steven Saylor est un cran au-dessus. En effet, je trouve dommage de traiter de la Rome antique sans qu'il ait de description de la vie quotidienne, de Rome, de l'architecture... Les détails manquent, on a parfois l'impression que les personnages jouent devant un décor en carton-pâte.
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